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Soyons réalistes : quand quelqu'un dit “ jeu Donkey Kong 3D ”, la première chose qui vient à l'esprit est probablement Donkey Kong 64… et pas toujours pour les meilleures raisons. Une envie de marathon de collecte de fonds ?
Mais Donkey Kong BananzaCe n'est pas ça. Nintendo fait une mise en valeur totale du géant — et honnêtement, c'est peut-être le meilleur moment de DK jusqu'à présent.
Dès le départ, Bananza dégage Super Mario Odyssée ambiance — de grands niveaux exploratoires, des objets brillants à collectionner et un sentiment général que tout est juste du plaisir. Mais ensuite, ils ajoutent une folie basée sur la physique qui semble tout droit sortie de Zelda : Les Larmes du Royaume — terrain déformable, mécanismes de creusement et création de votre propre chemin à travers des environnements en couches.
C'est comme si Nintendo avait créé un supergroupe de ses meilleures idées et avait donné le micro à DK (et par micro, je veux dire des bananes).
Mais le plus cool, c'est que ce n'est pas juste un jeu DK. C'est presque un reboot. Nouveau ton. Nouvelle histoire. Même addiction à la banane.

Cette fois, DK ne se balance pas sur des lianes ; il travaille pour une entreprise d'extraction de bananes et s'attaque littéralement à la roche pour récupérer des bananes dorées infusées à la Bananergie. Point de pioche ici. Juste les poings de DK et une tonne de destruction.
Le truc ? Creuser, ce n'est pas seulement de la force brute. Il faut réfléchir à la façon de naviguer sur Terre, un peu comme du jeu de plateforme inversé. On ne se contente pas de traverser un terrain, on avance. à travers Cette dimension supplémentaire rend l'exploration extrêmement enrichissante et donne une impression de fraîcheur.
Et oui, vous rencontrerez des ratés de caméra et quelques chutes d'images lorsque l'action devient trop folle (héhé), surtout dans les zones plus profondes et chaotiques. Mais rien de rédhibitoire. Voyez ça comme un petit prix à payer pour une liberté absolue.
DK fait équipe avec nul autre que Pauline (oui, la même que dans l'original) Donkey Kong (jeu d'arcade). Elle a des tuyaux, et ensemble, vous partez pour une mission étrangement réconfortante pour empêcher une société louche appelée VoidCo de faire des choses scientifiques maléfiques au cœur de la planète.
Il y a une vraie alchimie entre eux : DK ne parle pas, mais ses animations font le gros du travail. Il est plus expressif que jamais, et cela met vraiment en valeur leur relation. Imaginez-les comme un duo chaotique avec la douceur d'un dessin animé du samedi matin. C'est drôle, c'est mignon, ça marche.
Le clou du spectacle ? Les transformations “ Bananza ”.
Rencontrez des DJ animaliers. Oui, des DJ. Chacun vous apprend un pas de danse Bananza, qui débloque des transformations en formes animales survitaminées — gorilles, autruches, zèbres, etc. — avec des capacités qui semblent tout droit sorties d'un film. Zelda cachot.
Besoin de courir sur des plateformes qui s'effondrent ? Mode zèbre. Besoin de briser des rochers ? Mode gorille. Et oui, vous pouvez les recharger avec plus de bananes. C'est hilarant et génial à la fois.
Bonus : ces formes ouvrent de nouveaux domaines, il ne s'agit donc pas seulement de style, mais de substance.

Les bananes vous rapportent des points de compétence, qui alimentent un arbre de compétences solide. Imaginez : plus de santé, des coups plus puissants et de nouveaux mouvements transversaux intéressants. La boucle d'amélioration est serré — Collectionnez, améliorez, explorez, répétez. Vous voyez une banane brillante sur une falaise, et sans même vous en rendre compte, vous avez passé 30 minutes à creuser pour l'atteindre.
Il y a aussi des éclats d'or (utilisés pour les objets et les camps de base) et des fossiles (utilisés pour débloquer des costumes). Le système de fossiles est assez complexe — différents types, niveaux de rareté, disponibilité par zone — et on a l'impression qu'il a emprunté le pire aspect de Odyssée’Système monétaire régional. J'ai simplement acheté ce que je pouvais me permettre en espérant que tout irait bien.
Et pourtant, habiller DK d'une cravate banane dorée ? Ça vaut le coup.
Absolument. Donkey Kong Bananza pourrait bien être le jeu de plateforme le plus confiant de Nintendo depuis Odyssée. Il atteint l'équilibre entre la conception de niveaux structurée et la liberté chaotique du joueur, tout en réimaginant DK comme plus qu'un simple personnage secondaire ou un retour en arrière en 2D.
Oui, il y a quelques bugs de performances. Et le système Fossil aurait besoin d'un ou deux correctifs. Mais dans l'ensemble ? C'est le genre de jeu qui vous fait retomber amoureux des jeux de plateforme.
Verdict final : 9/10
Bananza est un délicieux mélange d'exploration, d'action et de charme Nintendo. C'est une aventure déjantée qui vaut vraiment le détour, surtout si vous attendiez avec impatience que DK obtienne enfin ce qu'il mérite.
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